Dans le cadre des « Journées Nationales d’Archéologie » en France, ainsi que des «Conférences de la Bibliothèque » de la Cathédrale Saint-Jean-Baptiste, Mlle Arevik PARSAMYAN, doctorante en cotutelle à l'Université de Rouen et l'Université d'Aix-Marseille, membre de JEAAP, a présenté le vendredi 19 juin 2015 une conférence à propos de l’histoire et de l’archéologie de l’Arménie ancienne, et plus particulièrement les temples antiques en Arménie et leurs destins après la christianisation du pays.
Les recherches historiographiques et archéologiques d’Arevik PARSMAYAN nous montraient deux phases de destructions des temples par les chrétiens. D’abord, il s’agit de désacralisations des espaces sacrés par les apôtres, notamment par Barthélemy au Ier siècle, puis par saint Grégoire et le roi Tiridate au début du IVe siècle. Cependant les temples antiques arméniens n’ont pas tous été détruits, comme il indiqué dans plusieurs ouvrages, ni tous fermés: trois cas se présentent :
Les recherches historiographiques et archéologiques d’Arevik PARSMAYAN nous montraient deux phases de destructions des temples par les chrétiens. D’abord, il s’agit de désacralisations des espaces sacrés par les apôtres, notamment par Barthélemy au Ier siècle, puis par saint Grégoire et le roi Tiridate au début du IVe siècle. Cependant les temples antiques arméniens n’ont pas tous été détruits, comme il indiqué dans plusieurs ouvrages, ni tous fermés: trois cas se présentent :

La conférence a
eu lieu à Paris dans la salle Nouran Fringhian de la Cathédrale
Saint-Jean-Baptiste de l’Église apostolique arménienne.
Lors de cette conférence le monseigneur Vahan HOVAHANISSIAN, le primat du Diocèse de France de l'Église apostolique arménienne, le révérend père Jirayr TASHJIAN, ainsi que de nombreuses personnalités, archéologues, enseignants et étudiants étaient présents.
Lors de cette conférence le monseigneur Vahan HOVAHANISSIAN, le primat du Diocèse de France de l'Église apostolique arménienne, le révérend père Jirayr TASHJIAN, ainsi que de nombreuses personnalités, archéologues, enseignants et étudiants étaient présents.
(Arevik Parsamyan)