Samedi 21 avril à 19h30 en présence d’artistes venus d’Arménie dont,
Aminé Hayriyan (actrice),
Kevork Choulyan (acteur),
Macha Mnjoyan (chanteuse),
Bedros Bedrossyan (chanteur populaire),
Tavit Khachatryan (chanteur populaire)
Cathédrale Apostolique Arménienne - Salle Nourhan Fringhian
Participation libre
1ère partie : Poésie, chants
(Lecture du poème «Անլռելի զանգակատուն» - Le clocher qui sans cesse résonne*)
2ème partie : Projection d'un court métrage (20 min)
*Le Clocher qui sans cesse résonne, traduction de l’épopée en vers Anleréli zankakadoun de Paruyr Sévak, écrit en 1958 dédié à Komitas, est considéré comme un monument de la poésie arménienne de la seconde moitié du xxe siècle.
Il est composé de six groupes de chants, les cloches du clocher ; les cinq premiers sont consacrés à la vie de Komitas, de sa jeunesse à sa mort, le dernier chant concerne sa postérité.
Au fil des pages, P. Sévak met en lumière la vie de Komitas, sa formation musicale, son travail de transcription des chants et ses recherches sur l’ancien système de notation de la musique arménienne par les neumes et les khaz, et en parallèle, il dresse un tableau de l’histoire du peuple arménien.
Dans une langue vibrante, et avec une formidable puissance créatrice, le poète parvient à restituer la vie dans les campagnes, les fêtes, les chants, les danses, les labours, les joies et les peines, la tragédie des massacres et la tentative d’effacement d’un peuple. Tantôt, il interpelle le Père Komitas, lui parle comme à un ami ou un frère, tantôt, il déplore l’indifférence des grandes puissances devant l’innommable.
Aminé Hayriyan (actrice),
Kevork Choulyan (acteur),
Macha Mnjoyan (chanteuse),
Bedros Bedrossyan (chanteur populaire),
Tavit Khachatryan (chanteur populaire)
Cathédrale Apostolique Arménienne - Salle Nourhan Fringhian
Participation libre
1ère partie : Poésie, chants
(Lecture du poème «Անլռելի զանգակատուն» - Le clocher qui sans cesse résonne*)
2ème partie : Projection d'un court métrage (20 min)
*Le Clocher qui sans cesse résonne, traduction de l’épopée en vers Anleréli zankakadoun de Paruyr Sévak, écrit en 1958 dédié à Komitas, est considéré comme un monument de la poésie arménienne de la seconde moitié du xxe siècle.
Il est composé de six groupes de chants, les cloches du clocher ; les cinq premiers sont consacrés à la vie de Komitas, de sa jeunesse à sa mort, le dernier chant concerne sa postérité.
Au fil des pages, P. Sévak met en lumière la vie de Komitas, sa formation musicale, son travail de transcription des chants et ses recherches sur l’ancien système de notation de la musique arménienne par les neumes et les khaz, et en parallèle, il dresse un tableau de l’histoire du peuple arménien.
Dans une langue vibrante, et avec une formidable puissance créatrice, le poète parvient à restituer la vie dans les campagnes, les fêtes, les chants, les danses, les labours, les joies et les peines, la tragédie des massacres et la tentative d’effacement d’un peuple. Tantôt, il interpelle le Père Komitas, lui parle comme à un ami ou un frère, tantôt, il déplore l’indifférence des grandes puissances devant l’innommable.